Alors que nous sommes convaincu que c’est juste…
Vous vous pensez dans la moyenne en orthographe ? Même si vous n’êtes pas une flèche et sortez encore vos moyens mnémotechniques pour savoir si c’est « er » ou « é » ? Où alors vous contournez le problème en modifiant vos syntaxes …
Malgré cela, vous faites des erreurs, sans même vous en rendre compte. La preuve ci-dessous avec quelques erreurs que vous commettez tous les jours, allez op ! Révisions des bases de la langue de Molière !
1 – « quelque soit ».
On peut écrire: « quel(s) que soi(en)t » / « quelle(s) que soi(en)t »,
Tout dépend du sujet que l’on emploi .
2 – « autant pour moi ».
Mais : « au temps pour moi ».
Si , si , on vous l’assure ! Sinon renseignez vous, on vous voit venir…
3 – Quelquefois,
Sauf quelques rares exceptions …
4 – « les filles se sont succédé » est correcte.
On vous l’accorde, c’est vraiment bizarre et ça ne correspond pas au modèle que l’ont nous apprends (on essaye du moins). Le participe passé du verbe « succéder » ne s’accorde pas au féminin pluriel. « les filles » est sujet et l’auxiliaire « être » impose normalement qu’on accorde avec le sujet, on est d’accord. Mais pas la !
Si on vous dit que c’est parce que le pronom « se » est ici un COI. Et ça explique tout !
5 – « Parmi » et « malgré » ne prennent jamais de « s ».
Par contre à « toujours » , il y a toujours un S.
6 – « Cent » et « vingt »
Prennent un « S » que quand ils sont multipliés !
Donc « cent Z euros », NON ! De même « vingt Z euros » Arrêtez ce supplice. C’est vraiment pas très jolie !
7 – « appeler »
Surement, le verbe le plus chiant de la langue française à conjuguer.
Un coup il prend 2 « l », un coup il n’en prend qu’un… Dans un premier temps, il y a toujours 2 P ! Et en ce qui concerne les ou le L : Au présent, il n’y en a qu’un seul qu’avec « nous » et « vous ». Pour le reste c’est toujours deux L .
8 – « commettre » et « omettre » n’ont pas le même nombre de « m » !
Puisque nous sommes au niveau du nombre de lettre, « Apercevoir » à un seul et unique P.
9 – On ne dis pas et on écrit encore moins « elle s’est permise » ou « je me suis permise »
(même quand on est une femme.) On ne voudrait pas être redondants… C’est le même principe que pour le points N° 4 . Même si la faute est passé inaperçue aujourd’hui, elle reste tout de même une faute non excusable.
10 – Les terminaisons des verbes du troisième groupe, ce n’est pas (si) compliqué.
Il résoud => il résout. Je peins oui ! Et non je peind. Pour les accords des verbes du 3 groupe , il faut juste donner un coup d’œil au Bescherelle !
Alors , prêt pour la dictée ?


